• Télécoms : Des bonnes nouvelles pour les utilisateurs de mobiles

     
     
    Les ministres européens des Télécommunications ont décidé d'entériner la baisse du prix de SMS entre pays européens.
     
     
    Le Conseil des ministres européens des Télécommunications, réuni le 27 novembre à Bruxelles et qui a difficilement adopté le "paquet télécoms", c'est à dire le projet de nouveau cadre réglementaire qui doit s'appliquer de 2010 à 2025, a aussi adopté un certain nombre de mesures directement bénéfiques pour le consommateur européen.

    Ainsi les Vingt-Sept ont décidé de plafonner le prix d'envoi de SMS entre pays européens à 11 centimes d'euros contre une moyenne actuelle de 29 centimes d'euros. Cette mesure devrait être effective en juillet 2009.

    En outre, concernant les appels passés depuis l'étrangers, les opérateurs auront l'obligation de facturer leur durée exacte à la seconde près à partir d'une période indivisible de 30 secondes.

    Afin d'éviter des factures trop lourdes pour l'échange de mails ou la connexion à l'internet mobile, les ministres européens ont également fixé un tarif de gros à 1 euro par mégaoctet téléchargé. Les opérateurs devront aussi mettre gratuitement à la disposition de leurs clients un système leur permettant de couper la connexion lorsque le plafond de 50 euros aura été atteint.

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  • Jeudi 13 novembre 2008, 13h53

     

     


    Le Japon ne pêchera pas de baleines à bosse pendant sa campagne annuelle dans l'Antarctique, a annoncé jeudi l'agence des pêches japonaises qui a, en revanche, maintenu son objectif de tuer un millier de cétacés, notamment des baleines de Minke.

     

    Une flotte baleinière va quitter l'archipel d'ici fin novembre pour chasser, comme chaque année, des baleines dans les mers du Sud. Une campagne régulière qui suscite les critiques des associations de défense de l'environnement et de plusieurs pays, notamment l'Australie.

     

    "Nous ne pêcherons pas de baleines à bosse cette année encore", a déclaré Hideaki Okada, un responsable de l'agence des pêches japonaises, organisme public chargé des opérations baleinières.

     

    L'an passé, Tokyo avait annoncé que sa flotte comptait tuer 50 baleines à bosse, une espèce protégée depuis un moratoire décrété en 1966 après des années de chasse extensive. Mais sous la pression internationale, le gouvernement avait renoncé à ce projet, inédit depuis 40 ans.

     

    "Nous suspendons la pêche à la baleine à bosse parce que la Commission baleinière internationale (CBI) nous l'a demandé pour favoriser une normalisation des discussions en son sein", a ajouté M. Okada pour expliquer ce nouveau renoncement.

     

    Constituée de 80 pays membres, la CBI réglemente la chasse et la conservation des baleines mais est devenue un terrain d'affrontement entre pêcheurs (Japon, Norvège, Islande) et protecteurs des cétacés.

     

    La CBI proscrit la pêche commerciale à la baleine depuis 1986 mais autorise la chasse à but "scientifique", avec des quotas précis, une tolérance utilisée par le Japon pour justifier ses campagnes.

     

    Cette année, Tokyo compte, comme l'an passé, tuer un millier de cétacés, notamment des baleines de Minke.

     

    La campagne précédente avait été perturbée par des associations de défense de l'environnement comme Greenpeace, et surtout Sea Shepherd, qui avaient harcelé les pêcheurs dans l'Antarctique.

     

    Les baleiniers n'avaient pêché du coup que 551 cétacés.

     

    Greenpeace a annoncé mardi qu'elle ne poursuivrait pas les navires japonais cette année, préférant se consacrer à la défense de deux de ses militants inculpés à Tokyo. Sea Shepherd a, en revanche, de nouveau donné rendez-vous aux baleiniers dans l'Antarctique.

     

     


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    Lundi 01 décembre 2008, 10h04

     

     


    Dans les hauteurs de l'est de la République démocratique du Congo (RDC), cinq gorilles des montagnes allaitent tranquillement leur progéniture, dont la naissance par temps de guerre est vécue comme "exceptionnelle" pour cette espèce très menacée.

     

    Un énorme mâle à dos argenté arrache vigoureusement les feuilles de la clairière, située sur les flancs du mont Mikeno à 4.500 mètres d'altitude, tandis qu'un jeune gorille épouille la fourrure hirsute de son petit frère.

     

    Cette paisible scène de famille n'a rien d'évident dans cette partie du parc national des Virunga dont la rébellion de Laurent Nkunda a pris le contrôle en septembre 2007.

     

    Les rangers, chassés de la zone, avaient alors perdu tout contact avec les quelque 200 gorilles de la réserve -- 30% de la population mondiale -- et craignaient que les combats ne les aient décimés.

     

    Mais, en novembre, le directeur du parc Emmanuel de Merode, après avoir négocié directement avec la rébellion, a obtenu le droit pour ses gardes de rentrer à Virunga.

     

    L'équipe s'est alors lancée dans un recensement des gorilles et a découvert, stupéfaite, les cinq bébés, tous nés pendant les 14 mois sous contrôle rebelle. Un chiffre "plutôt exceptionnel" pour une zone de guerre, selon M. de Merode.

     

    Des salariés du parc national Virunga observent un gorille, le 28 novembre 2008 (Photo Roberto Schmidt/AFP)

    "La population du parc a connu une croissance de 11% sur les dix dernières années, soit moins de 2% par an. Avoir cinq naissances dans un groupe de 30 gorilles correspond à une croissance de 15%. C'est assez impressionnant et très peu courant", souligne-t-il.

     

    Mais la découverte "ne confirme rien au sujet de la population globale", nuance le conservateur, précisant que seules deux des sept familles du parc ont jusqu'ici été localisées. "Nous restons inquiets et nous ne serons fixés que lorsque notre étude sera terminée dans trois semaines."

     

    En attendant, les rangers tentent d'en savoir le plus possible sur le groupe aux cinq naissances, dont le chef, Kabirisi, un mâle dominant de 200 kg, siège la plupart du temps avec majesté dans une position de bouddha.

     

    Soudain, le grand mâle se lance en courant et en criant vers les rangers pour les intimider. "Kabirisi tend à être un peu distant, mais il vous fait savoir quand il n'est pas content", souffle un employé du parc, Pierre Peron.

     

    Les gardes attendent qu'il soit calmé pour avancer vers le reste du groupe en émettant des sons rauques comparables à ceux des gorilles. Ils veulent identifier les animaux grâce aux rides et aux marques distinctives qu'ils portent sur le nez.

     

    Malgré leur apparence imperturbable, les gorilles ne peuvent pas avoir été indifférents aux combats, relève M. de Merode. "Ils étaient en plein milieu de la guerre. Bukima (le poste de rangers le plus proche) était sur la ligne de front et les combats avançaient et reculaient sans cesse."

     

    Au moins 10 gorilles ont d'ailleurs été abattus depuis 2007 dans le parc, selon M. de Merode. Kabirisi a lui-même pris le contrôle du groupe quand son prédécesseur a été tué dans un échange de coups de feu en 1998.

     

    Malgré un cessez-le-feu proclamé unilatéralement par la rébellion fin octobre, une rafale de mitrailleuse a encore retenti jeudi non loin du quartier général des rangers. En réponse, les armes ont claqué dans la vallée. Un affrontement de plus entre rebelles de l'ex-général Nkunda et miliciens hutu rwandais, selon un des gardes.

     

    Innocent Mburanumwe, un ranger fils de ranger, le seul capable de reconnaître tous les gorilles du parc selon son directeur, est content d'être de retour pour leur offrir un tant soit peu de protection.

     

    "Cela faisait longtemps que je n'avais pas vu mes gorilles. Ils m'ont manqué", confie-t-il avant de se glisser hors de la clairière. Laissant les grands singes à leur paix fragile.

     

     


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  • Voici deux extraits de ce magnifique livre que je viens de lire, des extraits remplis d'espoir et de positivité

    Voici le témoignage de Moustapha assis dans sa chaise roulante.
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    « L'an dernier, le Liban était particulièrement à feu sang, le parcourir était aller vers une mort quasi certaine. Il fallait faire quelque chose. J'ai décidé d'organiser une  marche de la paix avec des amis, infirmes de guerre comme moi : "Traversons le pays, sans armes, musulmans et chrétiens  confondus ; si nous sommes tous handicapés, qui aura le cœur de nous tuer ?" Nous sommes partis, une longue colonne d'une cinquantaine de sourds, muets, aveugles, paralytiques, les uns poussant les autres. Nous portions des banderoles : Salam ! Shalom ! Peace ! Paix ! A travers les villes et les villages, nous scandions : "chrétiens et musulmans, tous frères !" Contrairement à ce qu'on m'avait dit, personne ne nous a attaqués, les miliciens de tous bords abaissaient leurs mitraillettes, les gens criaient dans un délire de joie : Salam ! Shalom ! On nous jetait du riz, comme à des noces. Nous avons senti battre le vrai cœur du Liban ! » Mgr Haddad approuve de toutes ses forces : « Ah ! Si on pouvait comprendre l'âme libanaise, non pas fanatique mais fraternelle ! »


     

     

    Le vrai, le beau, le bien ne sont pas faciles à discerner aujourd'hui sur notre terre. Les médias nous accablent de flashes sur un monde presque exclusivement Oppressé par la corruption, la bassesse et la violence. Il existe pourtant une autre vision, malheureusement trop cachée. Notre planète demeure habitée par des hommes et des femmes doués d'un singulier pouvoir d'altruisme : ils savent faire germer le bien dans les champs les plus rebelles à la Culture. Ce sont des catalyseurs d'espérance, ceux qui osent dire  « il devient beau » devant le dernier des humains.

     


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  • <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>Même s'il est coincé Entre hier et demain. Aujourd'hui, Tu peux être heureux, Pas hier, ni demain.     Hier est passé et demain N'est pas encore là. La vaste majorité de nos misères Sont des restes d'hier Ou empruntés à demain Garde ton aujourd'hui propre.     Décide dans ton esprit de jouir
    De ta nourriture,
    De ton travail  De tes loisirs, Coûte que coûte, Aujourd'hui.     Aujourd'hui est à toi, C'est à toi qu'il a été donné. Tous les hiers sont partis Et tous les demains Sont encore à venir.     Aujourd'hui est à toi, Prends-en les joies et sois heureux. Prends-en les peines et sois toi même.     Aujourd'hui est à toi. Emploie-le de sorte que sur sa fin, Tu puisses dire : J'ai vécu et
    Aimé ......
    AUJOURD'HUI.

    (auteur inconnu)
    <o:p> </o:p>

     

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